mercredi 18 mars 2015

Comment se passe une inscription au Fichier des Incidents de remboursement des Crédits aux Particuliers (FICP) ? (2ème partie)

La durée d’une inscription au FICP pour un cas ordinaire est de 5 ans et de 8 ans pour les cas de surendettement
Pour consulter son dossier, un client peut se rendre au guichet de la Banque de France

Comme cité précédemment, l’accès au FICP est désormais possible pour tout particulier souhaitant consulter son dossier.  Pour cela, il peut s’adresser directement au guichet de la Banque de France ou en faire la demande par courrier. La durée d’une inscription dans ces fichiers pour un cas ordinaire est de 5 ans. Le délai imposé pour les cas de surendettement, tels qu’un plan de redressement ou autres mesures entreprises par la commission de surendettement, est de 8 ans.   

mardi 17 mars 2015

Comment se passe une inscription au Fichier des Incidents de remboursement des Crédits aux Particuliers (FICP) ?

Le FICP regroupe tous les défauts de paiement des prêts
Les fichiers de la Banque de France doivent être consultés avant l'acceptation d'un crédit

Le Fichier des Incidents de remboursement des Crédits aux Particuliers (FICP) est consulté par les banques lors de la souscription d’un emprunt par un client. Ce fichier regroupe tous les défauts de paiement des prêts et est accessible, depuis le 1er novembre 2010, à tout particulier souhaitant obtenir des informations le concernant. Une inscription au FICP peut avoir lieu pour diverses raisons, comme l’usage abusif d’un découvert autorisé ou le non-remboursement de deux mensualités consécutives d’un crédit.  

Un rachat de crédit pour éviter d’être inscrit au Fichier des Incidents de remboursement des Crédits aux Particuliers (1ère partie)

Si les échéances d’un emprunt ne sont respectées, l’emprunteur est inscrit dans les fichiers de la Banque de France

En cas de non-remboursement de deux mensualités consécutives,  l’emprunteur est inscrit au FICP

Si les échéances d’un emprunt ne sont respectées, l’emprunteur est inscrit au Fichier des Incidents de remboursement Crédits aux Particuliers (FICP). Cette mesure est enclenchée en cas de non-remboursement de deux mensualités consécutives. Géré par la Banque de France, ce fichier protège à la fois les organismes financiers et les clients contre d’éventuelles situations compliquées.

Lorsqu’une personne se retrouve dans l’incapacité de rembourser ses prêts, recourir au rachat de crédit peut être une bonne solution, car une inscription au FICP lui enlèverait certains privilèges. 

Un rachat de crédit pour éviter d’être inscrit au Fichier des Incidents de remboursement des Crédits aux Particuliers (FICP) (2ème partie)

Si le rachat de crédit est effectué au bon moment, cela peut éviter à l’emprunteur d’être fiché au FICP
Le rachat de crédit est une opération à envisager lorsqu’on a des difficultés à payer son emprunt

Comme cité dans la première partie de l’article, le rachat de crédit est une opération à envisager lorsqu’on a des difficultés à payer son emprunt. S’il est effectué au bon moment, cela peut éviter à l’emprunteur d’être fiché au FICP. La durée de l’inscription étant de 5 ans pour les incidents de paiement, le client pourrait éprouver des difficultés à obtenir un nouveau prêt, même en s’adressant à un autre établissement financier. En effet, selon la loi, les fichiers de la Banque de France doivent être consultés avant toute attribution d’un crédit.

Comment le rachat de crédit peut vous éviter le surendettement ?

Le rachat de crédit est une solution qui peut vous aider à retrouver une certaine stabilité au niveau de vos finances
Comment éviter le surendettement grâce au rachat de crédit ?

Rembourser ses credits peut s’avérer compliqué en cas de baisse inattendue de ses revenus. Pour éviter toutes situations difficiles, telles que le surendettement, il est important d’agir au plus vite. Le rachat de crédit est une solution qui peut vous aider à retrouver une certaine stabilité au niveau de vos finances. Cette opération consiste en effet à regrouper un ensemble de prêts en un seul et unique emprunt sous des conditions intéressantes. En somme, les mensualités sont revues à la baisse, contre un rallongement de la durée de remboursement, permettant ainsi au client de soulager ses charges mensuelles.

mercredi 11 mars 2015

Tout savoir sur le remboursement d’une assurance de prêt immobilier (1ère partie)

Remboursement assurance de prêt immobilier
Tout savoir sur le remboursement d’une assurance de prêt immobilier

Lors de la contraction d’un emprunt immobilier, l’emprunteur sera amené à souscrire une assurance de prêt. Celle-ci sert à couvrir les mensualités dans le cas ou ce dernier se retrouverait dans l’incapacité de les rembourser. Cependant, si aucun événement ne nécessite l’intervention de l’assurance durant toute la durée du crédit, une partie des bénéfices recueillis par l’assureur peut être récupérée par le souscripteur. Le prochain article vous en dira davantage.

Tout savoir sur le remboursement d’une assurance de prêt immobilier (2ème partie)

Remboursement assurance emprunteur

Une partie de l'assurance de prêt peut être remboursé si la transaction s'est déroulée sans problème

Comme cité précédemment, une partie de l’assurance de prêt, prise dans le cadre d’un emprunt immobilier, peut être restituée au client. Les taux pratiqués par les agences d’assurance peuvent effectivement engendrer certains bénéfices, dont une partie doit être reversée au client, si la transaction s’est déroulée sans problème. Or cette information est inconnue de près de 63 % des emprunteurs interrogés lors d’un sondage réalisé par Vivastreet. 

Pour info, la demande de remboursement doit être effectuée par deux courriers transmis à l’assureur et l’organisme de prêt. L’article L 331-3 du Code des assurances peut également être évoqué.

mardi 10 mars 2015

Pourquoi éviter de prendre un crédit immobilier sur 30 ans ? (1ère partie)

Faire un crédit immobilier sur 30 ans ne serait pas profitable en ce moment
Prêt immobilier : les meilleurs taux sont accordés pour les contrats de 15, 20 et 25 ans

Au vu des conditions actuelles, faire un crédit immobilier sur 30 ans ne serait pas profitable pour un emprunteur. En effet, les meilleurs taux sont accordés pour les contrats de 15, 20 et 25 ans. Ils sont néanmoins plus élevés pour les délais supérieurs. Alors que beaucoup choisissent cette option afin de réduire leurs mensualités, l’opération pourrait être moins intéressante s’ils venaient à revendre dans un court délai. Le prochain article vous en dira davantage.   

Pourquoi éviter de prendre un crédit immobilier sur 30 ans ? (2ème partie)

Dans le cas d’un prêt sur 30 ans, le capital est remboursé plus lentement
Emprunter sur 30 ans peut vous revenir très cher en cas de revente précipitée du bien immobilier

Avec la baisse des tarifs du crédit immobilier, emprunter sur 30 ans peut vous revenir très cher dans certaines circonstances. En cas de revente précipitée, suite à un événement imprévu, l’emprunteur pourrait se retrouver à rembourser des frais très importants. Cette situation s’explique par le fait qu’une grande partie des intérêts est réglée durant les premières années du contrat. Dans le cas d’un prêt sur 30 ans, le capital est remboursé plus lentement. Si aucun apport personnel n’a été fourni lors de la souscription, les frais seront encore plus long à rembourser. 

Certains Français n’accèderaient pas au crédit à cause de leur état de santé ! (2ème partie)

22 % des personnes souffrant de maladies de longue durée, telles que le diabète, se sont vues refuser une assurance pour des raisons de santé
Un Français sur 10 ignore également qu’il peut être défendu ou représenté par une association d’usagers dans un milieu hospitalier ou à la sécurité sociale

La difficulté d’accès au crédit n’est pas le seul problème recensé par le cabinet d’études Louis Harris 2. En effet, 22 % des personnes souffrant de maladies de longue durée, telles que le diabète, se sont vues refuser une assurance pour des raisons de santé. La majeure partie des sondés semblent mal informés sur les Commissions Régionales de Conciliation et d'Indemnisation des accidents médicaux (CRCI) ou les Commissions des Relations avec les Usagers et de la Qualité de la Prise en Charge  (CRUQPC). Enfin, un Français sur 10 ignore également qu’il peut être défendu ou représenté par une association d’usagers dans un milieu hospitalier ou à la sécurité sociale.