jeudi 9 octobre 2014

Le crédit renouvelable, un prêt à la consommation utile et efficace pour vos urgences (1ère partie)

Le credit renouvelable, une solution financière facilement accessible
Le crédit renouvelable, un prêt à la consommation utile et efficace pour vos urgences

Disposer d’un credit renouvelable peut s’avérer utile dans les situations d’urgences. Facilement accessible, ce prêt à la consommation vous permettra d’avoir une réserve d’argent utilisable à tout moment, pour différents besoins. Généralement distribuée avec une carte de crédit, cette formule de financement se reconstitue après chaque remboursement. Même si le taux imposé peut s’avérer conséquent, il faut savoir que les intérêts ne porteront que sur la partie de la somme qui sera utilisée.


À noter que les lois Lagarde et Hamon ont été réformées en 2010 et 2014 respectivement afin que le client soit mieux informé sur les conditions de ce prêt.  

Crédit renouvelable: quelles sont les précautions à prendre pour éviter les situations compliquées ? (2ème partie)

Crédit renouvelable, à réserver aux besoins urgents
Crédit renouvelable: précautions à prendre pour éviter les situations compliquées

Comme précisé dans l’article précédent, le crédit renouvelable comporte un taux assez important, qui est surtout conseillé aux personnes ayant une bonne maîtrise de leur budget. Il faut être vigilant lors de son utilisation pour éviter de se retrouver dans une situation embarrassante.


La première chose à faire, c’est de bien s’informer auprès de l’établissement financier sur le fonctionnement du prêt. En second lieu, il est conseillé de s’en servir que pour des besoins urgents, comme la réparation de sa voiture, ou s’acheter une nouvelle machine à laver. Enfin, le mieux serait de rembourser la somme dépensée le plus vite possible et ne pas utiliser la réserve d’argent de manière abusive pour éviter que les intérêts n’atteignent un niveau insurmontable. 

mardi 7 octobre 2014

Qu’est-ce qui peut entraîner le refus d’une opération de rachat de crédit ? (1ère partie)

Refus rachat de credit: reste a vivre insuffisant
Rachat de crédit: une situation financière difficile peut mener à un refus

Même si le rachat de crédit est une solution efficace pour ceux rencontrant des difficultés dans la gestion de leurs finances, il peut arriver que les établissements financiers refusent leur demande. L’une des raisons qui peuvent mener à un refus, c’est un taux endettement élevé. Le fait d’avoir des frais trop importants peut effectivement freiner certaines banques.


Le reste à vivre sera aussi pris en considération.  S’il est trop faible après le remboursement des dettes, cela pourrait conduire à une réponse négative de l’organisme.

Qu’est-ce qui peut entraîner le refus d’une opération de rachat de crédit ? (2ème partie)

Rachat de crédit : ceux en CDD ont moins de chances que les fonctionnaires et ceux en CDI
Ceux en CDD ont moins de chance d'accéder au rachat de crédit

Votre situation professionnelle et personnelle sera aussi analysée lors de votre demande de rachat de crédit. Par exemple, une personne ayant un contrat à durée indéterminée (CDI) ou un fonctionnaire a plus de chance d’y accéder qu’une personne en Contrat à durée déterminée (CDD). Bien sûr, elle devra quand même répondre aux conditions imposées par la banque. Certaines circonstances, comme un divorce, peuvent aussi jouer en votre défaveur. 

Qu’est-ce qui peut entraîner le refus d’une opération de rachat de crédit ? (3ème partie)

Refus de rachat de credit
Etre inscrit au FICP peut mener à un refus de rachat de crédit

Le fait d’être propriétaire de son logement peut aussi être une bénéfique lors d’une opération de rachat de crédit. Vous pouvez par exemple choisir d’hypothéquer le bien immobilier pour augmenter vos garanties. Néanmoins, si celle-ci est trop faible, la banque pourrait refuser votre demande.

Si vous vous retrouvez inscrit au Fichier des incidents de remboursement des crédits aux particuliers (FICP) ou au Fichier central des chèques (FCC), cela pourrait éventuellement jouer contre vous. Enfin, l’âge du client peut également être un problème. S’il est âgé de plus de 75 ans, le dossier ne sera accepté que si le rachat de crédit est négocié sur une courte période. 

jeudi 2 octobre 2014

Crédit consommation : le prêt personnel est la formule préférée des Français

Le crédit consommation a retrouvé des couleurs en 2014
Crédit consommation : le prêt personnel est la formule préférée des Français

La production du credit consommation s’est améliorée en 2014, notamment au niveau du prêt personnel. Selon une récente étude de l’Association française des sociétés financières (ASF), une hausse de 8,2 % a été constatée durant les trois derniers mois. La formule du crédit renouvelable a, elle, connu une baisse de 6 % par rapport à août 2013, alors que les financements dédiés à l’achat de biens d’équipements du foyer ont régressé de 8,4 %.


Par ailleurs, les choses vont plutôt bien du côté de l’automobile. La production de la location avec option d’achat (LOA) a progressé de 25,2 %, tandis que celle des crédits classiques a chuté de 10,8 %.

Prêt immobilier : la pension alimentaire n’est pas considérée comme un revenu par certaines banques

La pension alimentaire n'est pas considérée comme une source de revenu lors d'une demande de crédit immobilier
Prêt immobilier : la pension alimentaire n’est pas considérée comme un revenu par certaines banques

Lors d’une demande de prêt immobilier, l’organisme financier devra calculer la capacité d’emprunt du client. L’établissement analysera les différentes sources de revenus de ce dernier, mais il faut savoir que la pension alimentaire n’est pas toujours prise en compte. Selon le ministère des Finances, ces sociétés sont en droit de le faire, car les conditions d’octroi sont différentes pour chacune d’entre elles.

Il est à noter que les allocations familiales ou les indemnités de chômage ne sont pas non plus considérées comme des revenus lors de l’analyse de la situation financière de l’emprunteur. 

Quelles sont les erreurs que l’on peut retrouver sur son contrat de crédit immobilier ? (1ère partie)

Crédit immobilier: découvrez les différentes erreurs que vous pouvez trouver sur votre contrat
Bien vérifier que son contrat de crédit immobilier ne comporte aucune erreur

Lors de la souscription d’un crédit immobilier, un établissement financier se doit de fournir des infos détaillées sur les différents frais que comporte un tel investissement. Selon la loi Lagarde, le contrat de prêt doit mentionner un certain nombre de renseignements afin d’offrir plus de protections au client.


On parle ici de l’identité des deux parties, des modalités de remboursement, des intérêts, assurances, commissions et du Taux effectif global (TEG). Toutefois, il arrive parfois que certains éléments ne figurent pas sur le contrat. Le prochain article vous en dira plus.

Quelles sont les erreurs que l’on peut retrouver sur son contrat de crédit immobilier ? (2ème partie)

TEG: certains éléments sont parfois omis lors de son calcul
Prêt immobilier: s'assurer que le TEG est correcte

Comme mentionné dans l’article précédent, il arrive qu’un contrat de crédit immobilier ne contienne pas toutes les infos importantes. L’une des erreurs que vous pourrez constater, c’est l’absence du Taux effectif global (TEG), qui est supposé vous indiquer le coût total du prêt.


 Il arrive aussi que celui-ci soit inexact. En effet, certains éléments comme les commissions ou les frais de garantie sont parfois omis du calcul.

Quelles sont les erreurs que l’on peut retrouver sur son contrat de crédit immobilier ? (3ème partie)

Bien vérifier que les intérêts sont correctement calculés

Une autre erreur que vous pourrez constater sur votre contrat de crédit immobilier, c’est l’omission du taux de période et de la durée de celle-ci. À noter que ces deux infos seront très importantes en cas de remboursement anticipé des intérêts par échéance. 


Enfin, il arrive aussi que le calcul des intérêts soit effectué sur 360 jours, au lieu de 365 ou 366. Vous devrez donc vous assurer que ces frais soient calculés sur la bonne période, sauf si vous l’avez vous-même négocié sur la base de 360 jours.